1. Certains pèlerins payent en aumône une somme équivalente au prix de l'animal à offrir en sacrifice. Or, ceci n’est pas considéré comme un sacrifice valide et ne sera pas rétribué par la récompense prévue pour ce rite.
2. Certains immolent la bête à offrir comme sacrifice avant le jour de l’Aïd. Or, il leur incombe de l’immoler au moment prescrit pour s’acquitter de ce rite, à savoir le jour de l’Aïd.
3. Certains jettent l’animal à présenter comme sacrifice après son immolation, ce qui est une dilapidation de la grâce d’Allah, exalté soit-Il. Il vaut mieux faire parvenir sa viande aux pauvres et aux nécessiteux. D’ailleurs, le pèlerin est autorisé également à en consommer, s’il le souhaite.
4. Certains choisissent pour le sacrifice des bêtes infirmes telles les bêtes borgnes ou boiteuses. Or, le sacrifice rituel offert par les pèlerins est pareil à celui des non-pèlerins, lequel doit remplir la condition de l’absence de toute infirmité manifeste chez la bête à sacrifier.
5. Certains entreprennent l’immolation de la bête à sacrifier en dehors du Haram, la zone sacrée. Or, il est obligatoire d’immoler la bête à sacrifier dans l’enceinte du Haram.