Louange à Allah. Paix et Salut sur Son Prophète.
Si ce frère a, de manière inhabituelle, du mal à jeûner, il lui sera permis de rompre le jeûne. Si les médecins de confiance affirment qu'il subira un grand préjudice en abandonnant les médicaments, la rupture du jeûne lui est obligatoire. Si sa guérison est probable, il devra rattraper les jours qu'il a manqués ; sinon, il devra nourrir un pauvre pour chaque jour où il n’a pas jeûné car Allah, le Très Haut, dit (sens du verset) :
« Quiconque d’entre vous est malade ou en voyage, devra jeûner un nombre égal d’autres jours. Mais pour ceux qui ne pourraient le supporter qu’(avec grande difficulté), il y a une compensation: nourrir un pauvre.» (Coran 2/184)
S'il est capable de jeûner sans difficulté ni préjudice, il a le devoir de le faire.